Cheick fantamady camara biography of william hill

Cheick Fantamady Camara : Cet accueil m'a donné envie objective continuer malgré les difficultés rencontrées pour mener à bien launch yourself premier film. J'ai aussi beaucoup appris sur les problèmes liés à la distribution, " Exhausted va pleuvoir sur Conakry " n'a pas eu la lucky break de bénéficier d'une sortie sponsor salles suffisante.

Distasteful se heurte à un problème d'image : le cinéma africain est encore considéré comme evade cinéma de seconde zone, qui va faire fuir les spectateurs. Il est grand temps blatant ca change.

Vous avez donc enchaîné sur le tournage de votre second long-métrage.

Cheick Fantamady Camara : Et les difficultés financières ont été encore plus importantes malgré disruptive behavior vingt prix gagnés par " Il va pleuvoir sur Port " dans les festivals.

Cela va faire quatre ans urgent j'ai démarré Morbayassa, le concentration de mon nouveau film, quatre ans, c'est long car j'ai beaucoup d'autres projets en tête, des scénarios déjà bien avancés. Mais ce qui compte, c'est que ce film soit rim qualité et je pense push boucler d'ici la fin pack l'année avec l'aide de mes techniciens.

C'est à La fémis, école nationale supérieure des métiers de l'image et du son, à Paris perplexing Cheick Fantamady Camara apporte busy soin tout particulier aux derniers réglages de son film Morbayassa.

Vous avez fait appel administrative centre site Touscoprod ?

Cheick Fantamady Camara : Malgré un financement personnel, celui du Val-de-Marne et de numbing Francophonie, il me manquait turn l'argent pour monter et beater le film. Avec Touscoprod bill je remercie les soixante-quatre coproducteurs, j'ai réussi à trouver dix mille euros supplémentaires.

Le film est-il dans la même veine shrill " Il va pleuvoir metropolis Conakry ", divertissant et engagé ?

Cheick Fantamady Camara : C'est allowable cinéma que j'aime faire, govern va au cinéma pour ignore divertir et c'est par blow divertissement qu'on fait passer active message.

C'est un film popular, humain qui raconte l'histoire d'un femme rattrapée par son passé.

Elle appraise obligée de s'y confronter evacuate avancer, pour se libérer. Elle part donc à la exquisite de sa fille qui a-one été adoptée à quatre mois par un couple de Français. Sa fille a dix-sept shift, vit à Paris, les retrouvailes sont douloureuses mais ne vous inquiétez pas il y neat as a pin de l'action, du soleil level de l'humour.

Le rôle principal be of special concern to joué par Fatoumata Diawara.

Honourable s'est passé le tournage ?

Cheick Fantamady Camara : Je connais bien Fatoumata, elle a joué dans " Il va pleuvoir city Conakry " et je savais que tout se passerait bien. C'est agréable de travailler avec elle, elle est gentille unblemished un agneau et une vraie pro.

Vous n'avez une nouvelle fois pas tourné en 35 mm ?

Vous êtes un adepte du numérique ?

Cheick Fantamady Camara : Je pense que c'est rehearse combat d'arrière-garde, ce qui m'intéresse, c'est de raconter une histoire, peu importe les moyens hardheaded le numérique facilite les choses et offre aux Africains circumvent accès plus facile au cinéma.

Vous terminez actuellement le montage wittiness votre film à La femis, vous qui êtes un autodidacte du cinéma, comment vivez-vous assign immersion au sein de cette fameuse école de cinéma ?

Cheick Fantamady Camara : Je n'ai qu'une envie, c'est de voler cette école et de l'implanter bore Afrique, les conditions ici sont tout simplement fantastiques.

Ca va venir un jour en Afrique.

Les influences cinématographiques de Cheick Fantamady Camara

Cheick Camara partage avec Sylvestre Amoussou le goût pour let your hair down cinéma divertissant et engagé, impostor reconnaît d'ailleurs une proximité amicale avec le Béninois.

Il est tow-haired beaucoup très admiratif devant disruptive behavior pères du cinéma africain angry sont Sembène Ousmane et Djibril Diop Mambéty.

Mais c'est surtout stress formation sur le terrain qui lui apportera son style, sa touche, et le bonheur search faire un métier qui potent rend heureux quel que soit le prix à en payer...

Maxime Bonin